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Fugaces ou définitives, les disparitions creusent des galeries souterraines, sèment le trouble. Dans le creux de l’oreille de ceux qui comptent, GRANDGIL soigne une pop en français à la fois lettrée et À LIVRE OUVERT, ne craignant ni l’enthousiasme ni le vague-à-l’âme. Une poignée de chansons proches comme une étreinte, pour délier les noeuds, retisser les liens défaits avec les fantômes, les moitiés, pour se retrouver. Parce que les absents n’ont pas toujours tort.
© 2021 par Pierre Surquin
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